Le genre, une identité trouble

À quoi tient notre genre? la question n’est pas si simple. Il existe des femmes aux cheveux courts, qui ne portent pas des jupes, détestent le rose et le shopping.

Il existe des hommes aux cheveux longs, aux traits fins, qui n’aiment pas le foot ou sortir entre amis.

A coté de notre sexe biologique, il y a notre sexe identitaire. Comment conjuguer les deux lorsque l’adéquation est difficile ?

Le caractère inné ou acquis de l’identité de genre n’est pas une évidence.

Dans 1 cas sur 2500, l’identité de genre d’une personne et son sexe biologique sont en opposition radicale. poussant alors les personnes concernées a envisager une opération de réattribution de sexe.

Ces personnes transgenres représentent une diversité des Trans identités qui est malheureusement encore relégués aux rangs de la marginalité et du spectacle. Pourtant la Trans identité a son histoire, sa culture et sa réalité.

Cette réalité a part entière est encore ignorée du quidam et souvent bafouée par la législation qui rechigne, parfois, à reconnaitre des droits mais surtout une existence légale aux transgenres.

En définitive, comment convient-il de conjuguer la question du genre avec le quotidien ?

La non-binarité n’est pas toujours évidente à faire accepter à son entourage. Il est temps que nos codes sexués évoluent en regard des modifications profondes de genres que nous connaissons depuis des années et qui évoluent à travers les transgenres.

Une personne transgenre ou androgyne garde une apparence singulière qui ne cadre pas avec les prescrits sociaux en vigueur mais reste avant tout un humain.