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Article a lire en cliquant sur ce lien (PDF)Pour un ensemble de raisons démographiques, pratiques, financières et symboliques, le groupe social des femmes constituent une importante ressource politique. Pour les organisations et mouvements sociaux. Par ailleurs, le groupe social des femmes est aussi le sujet collectif des mouvements féministes. Il est donc indispensable que la sociologie des mouvements sociaux et la théorie féministe et les militants et militantes progressistes se penchent plus sérieusement sur l’analyse de la mobilisation des femmes.
Cette étude s’intéresse à comment et pourquoi autant de femmes se mobilisent-elles et sont mobilisées dans des mouvements sociaux classiques (ou nationalistes, et/ou ethniques) qui tout progressistes ou révolutionnaires qu’ils s’affirment prennent si peu en comptent leurs intérêts comme femmes.
Pour cela, l’auteur propose de réfléchir sur deux dimensions nouvelles : celles de la conscience collective des femmes organisées dans des mouvements sociaux et celles des dynamiques d’appropriation ou d’autonomisation collective des femmes dans des contextes historiques concrets. La guérilla salvadorienne et le FMLN sont analyse dans cette étude de Jules Falquet.
Les mouvements qui réussiraient a développé un projet universaliste qui remettent en cause l’ensemble des rapports sociaux de pouvoir imbriqué constitueraient enfin des alternatives réelles aux entrepreneurs de la politique.
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